21 juillet 2018

De retour à Genève

En quittant ce matin, je ramène un rhume des montagnes, congestion et maux de gorge. Je quitte tôt pour arriver tôt à Genève. Il faut compter 3h48 pour faire le transit. 

En quittant l'hôtel, ma boite de vélo n'entre pas dans le mini taxi électrique de l'hôtel. Il y a 3 types différents de taxis, et ce matin, il n'y en avait qu'un disponible et ce n'était pas la version pickup à mon arrivée. Le chauffeur propose de mettre la boite sur le toit. Pas question, si elle glisse, c'est la chute qui brisera définitivement ma boite. Je propose de la mettre en arrière mais elle n'entrera pas toute. Le tiers restera dehors. Je n'ai pas pensé qu'il n'y a pas de routes plates en Suisse. On descend pour ensuite remonter vers la gare. De plus, la préoccupation du chauffeur est de se faire arrêter par la police pour surdimension de la charge. LA POLICE! Ça fait plusieurs fois que je viens à Zermatt, et je n'ai jamais vu de policiers. Il ne veut pas recevoir une contravention. Moi, j'ai un train à prendre dans 7min. Et j'ai acheté mon billet sur l'App Mobile CFF pour une heure précise. Si je manque mon train, je perds mon billet puisque les tarifs diffèrent suivant l'heure. Mon chauffeur fini par trouver une ficelle pour tenir la porte arrière entrouverte. En descendant, tout va bien, c'est en remontant que la ficelle lâche puisque ma boite pousse sur la porte. Ma boite commence à glisser vers l'arrière. On arrête tout pour solidifier le tout. J'arrive finalement à la gare avec moins d'une minute pour attraper mon train, qui eux sont toujours à l'heure.



J'arrive finalement à mon hôtel pour midi. Je dépose mon bagage et je sors pour le lunch. Les restaurants sur Place Mont-Blanc ne sont plus les mêmes depuis 2015. Je m'accroche les pieds par hasard dans deux magasins de montres avant de trouver où manger. 

En après-midi, je marche Genève en faisant du lèche vitrine. Des fois j'entre, sinon je passe tout droit. Je suis surpris de voir le centre-ville vide de piétons et vide de circulations. C'est mort. 









En soirée, il y a de forts orages avec le tonnerre. Pour éviter de revenir détrempé, je vais manger au Café de Paris à 200m de l'hôtel sur la place Mont-Blanc. C'est fort simple, c'est le même menu pour tout le monde, sauf pour la cuisson. Ils ne servent que l'entrecôte et frites, même formule qu'au Relais de l'Entrecôte beaucoup plus loin. Je voulais d'ailleurs y aller ce soir, mais avec ces orages, je préfère rester dans le coin. Verdict, j'aime mieux le Relais de l'Entrecôte, assez pour y retourner demain soir. Une tradition à maintenir. 




Retour à l'hôtel pour me tenir à jour ici.